2R/12 - Musées

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Cote/Cotes extrêmes

2R/12 (Cote)

Date

1857-2005

Importance matérielle

55 article(s)

Localisation physique

Archives municipales de Lille

Origine

Mairie de Lille

Biographie ou Histoire

MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE.

Création du premier musée

La Société des Amateurs des Sciences et des Arts, fondée en 1802 commença par acquérir une collection d'insectes, puis un tigre royal. En 1816, la Société décida de créer un musée afin de pouvoir élargir ses collections et permettre l'enseignement public. Inauguré en 1822, le premier musée d'histoire naturelle de Lille prenait place au sein de l'ancien Hôtel de ville, place Rihour. 

Au sein de la Faculté des sciences et de l'Université.

En 1854, la création de la Faculté des Sciences dans le Vieux-Lille entraîna le transfert des collections du musée afin que les étudiants puissent en profiter.

Les collections du musée

Le musée regroupe quatre collections : géologique, zoologique, industrielle et ethnographique. 

Deux collections forment la collection géologique. La première, visible dès 1902, fut constituée lors de la création du musée de géologie en 1877 par le professeur titulaire de la chaire d'histoire naturelle à la Faculté des sciences (également  conservateur du musée), Jules GOSSELET (1832-1916). Elle se compose de nos jours de 200 000 fossiles, roches et minéraux. La seconde, la collection houillère de Charles BARROIS (1851-1939), successeur de Jules GOSSELET, visible dès 1907, comporte 6 000 empreintes végétales fossilisées datant de l'exploitation houillère dans la Région. Depuis les années 1990, environ 5 000 spécimens supplémentaires sont venus compléter la collection. 

La collection de zoologie, installée entre 1908 et 1911 comprend essentiellement des oiseaux (de nombreuses races de pigeons et de coqs domestiques, des colibris, etc.), des mammifères, des insectes et des coquillages. 

Transférée en 1990, la collection des sciences et techniques se compose de 40 000 objets et 20 000 ouvrages. Elle est issue du Musée industriel et commercial fondé en 1853. Celui-ci se composait de deux musées ; le Musée commercial et colonial dont la collection illustrait l'évolution du savoir-faire de l'Homme au travers de textiles, faïences, photographies et matériaux, et le Musée industriel et agricole dont les oeuvres traduisaient la volonté des ingénieurs de transmettre leurs connaissances. 

La collection du musée ethnographique MOILLET, transférée en 1992, compte 13 000 pièces (costumes, statuettes, masques, pendants d'oreilles...) provenant des cinq continents.

Le musée et la guerre.

Durant la Première Guerre mondiale, le musée subît des dégâts notamment lors de l'explosion du dépôt de munitions des « 18 ponts », mais malgré sa fermeture jusqu'en 1925, les acquisitions se poursuivirent.

En 1942, les Allemands qui occupaient alors le musée exploitèrent certaines œuvres (fauves, oiseaux) dans des représentations d'opéras de Wagner.

Le musée municipal aujourd'hui.

Les collections forment un ensemble de plus de 500 000 objets dont 5% d'entre eux occupent la surface d'exposition (1 400m). 95% des objets sont conservés dans les réserves (2 200m). 

 

PALAIS DES BEAUX-ARTS.

Constitution des collections.

A l'époque révolutionnaire, la Ville de Lille, tout comme Paris, participa au sauvetage d'un grand nombre d'œuvres d'art provenant des communautés religieuses, des églises et des émigrés. 

En 1792, le peintre Louis Joseph WATTEAU (1731-1798) fut chargé par la Commission centrale des arts d'expertiser les œuvres afin que les plus belles soient ensuite envoyées au Louvre. Envisageant déjà la future création d'un musée lillois, il demanda à pouvoir conserver à Lille le tiers de sa sélection qui comptait 646 œuvres.

Les toiles considérées comme sans intérêt furent alors placées dans un ancien couvent de Lille. En 1813, certaines de ces toiles parmi lesquelles se trouvaient des peintures flamandes, furent vendues par un préfet à un prix bradé équivalent à 3 francs et 90 centimes par tableau.

Le Louvre ne pouvant accueillir toutes les œuvres, l'arrêté Chaptal du 1er septembre 1801 fixa la décentralisation des œuvres en région. Quinze villes furent choisies. En tant que futures succursales du Louvre, elles avaient l'obligation de disposer d'un lieu qui pourrait accueillir les œuvres octroyées. La ville de Lille reçut 46 tableaux. 

Le premier musée ouvrit ses portes en 1809 au sein du couvent des Récollets qui se trouvait rue des Arts. L'inadéquation du lieu, le nombre croissant des œuvres suite aux legs (dont celui de Jean-Baptiste WICAR (1762-1834) constitué de 1 300 dessins dont près de 40 œuvres de Raphaël) et aux acquisitions, ainsi que le manque de lumière obligèrent les élus locaux à réfléchir à une solution. 

Le musée à l'hôtel de ville.

En 1848, le musée fut transféré au deuxième étage de l'Hôtel de ville place Rihour. Un espace plus grand et mieux adapté permit de penser véritablement la muséographie.

En 1850, Edouard REYNART (1802-1879), conservateur du musée depuis 1840, publia le premier catalogue du musée comportant 274 numéros d'œuvres. Le cinquième et dernier catalogue publié en 1875, en comportait 759. 

Le musée et la guerre.

En 1914, les collections subirent les bombardements et les intempéries mais furent relativement épargnées. En 1918, elles furent transférées à Valenciennes par les Allemands pour prendre part à une grande exposition qui fut écourtée par l'avancée des troupes alliées.

Après la Seconde Guerre mondiale, Pierre MAUROIS, alors conservateur du musée, fut à l'origine d'un éclaircissement des peintures des salles, de la réorganisation des tableaux par familles artistiques et de la présentation des objets en vitrines.

En 1946, une association des Amis du Musée vit le jour et participa à l'enrichissement des collections.

Les collections.

La collection du musée municipal, considérée comme la plus riche du Nord-Pas-de-Calais, se compose de 60 000 œuvres. Elle figure également parmi les plus riches de France et d'Europe. En illustrant toutes les périodes, de la Préhistoire à nos jours, elle peut être qualifiée d'encyclopédique. Bien qu'étant d'une grande diversité (œuvres des XVIIIème et XIXème siècles, œuvres impressionnistes, céramiques, plans-reliefs&), les peintures flamandes des XVème, XVIème et XVIIème siècles et hollandaises du XVIIème en demeurent pourtant les œuvres phares.

 

MUSEE DES PLANS EN RELIEF

La création des plans-reliefs.

Les plans-reliefs furent réalisés à partir de 1668 à la demande de Louis XIV, faisant suite à une proposition de LOUVOIS, dans le but d'étudier la défense du territoire. Cet ensemble constitué d'une centaine de maquettes exécutées à l'échelle unique 1/600 représente les bâtiments et maisons des villes mais aussi le territoire environnant. Les maquettes de Lille et d'Ath furent les deux premières commandées et réalisées. 

Les plans, de grandes dimensions, sont essentiellement constitués de bois. Du papier peint fut utilisé pour le revêtement des murailles ou les toitures ainsi que des floches de soie pour les arbres et la végétation. 

La collection s'accrut constamment jusqu'à compter 127 pièces en 1774. Durant le déménagement des maquettes d'octobre 1776 à mars 1777, 12 grands plans, parmi lesquels ceux de Dinant, Québec et Montréal, disparurent. 

La création de plans-reliefs se poursuivit sous la Révolution. 

Napoléon s'assura ensuite de l'entretien et de l'accroissement de la collection. C'est ainsi, que durant les années 1811 à 1813, le plan de Cherbourg, le plus vaste (16,91m x 9,46m) fut construit. Après la défaite de Waterloo en 1815, la collection fut démantelée sur l'ordre du maréchal Gebhardt Leberecht VON BLUCHER (1742-1819), général des forces prussiennes. Seul le plan de Lille, alors en mauvais état, survécut au pillage de la collection. Sa restitution avec les autres oeuvres pillées n'ayant pas été évoquée lors du Traité de Versailles en 1919, il ne sera de retour en France qu'après la Seconde Guerre mondiale. 

 

Restauration et manque de place.

A partir de 1816, les plans furent restaurés. Ils n'eurent plus d'utilité militaire après la guerre de 1870.

La multiplication des services administratifs militaires en 1919 accentua le manque de place.

En 1927, la collection fut classée Monument historique. Elle comportait alors 101 plans-reliefs.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la collection fut mise à l'abri au château de Chambord.

Le transfert du musée.

En 1954, le manque de place à l'Hôtel des Invalides obligea à penser un éventuel transfert de la collection en dehors de la capitale. De nombreuses propositions de lieux furent avancées puis abandonnées.

En 1964, André MALRAUX projeta de transférer les plans dans les villes représentées. Cette idée fut abandonnée en 1968.

En 1979, le transfert du musée fut décidé par le Comité de décentralisation qui engagea le Ministère de la culture à réfléchir aux implantations possibles.

En 1984, la ville de Lille, considérée comme ville-carrefour (puisque proche du futur tunnel sous la Manche, du Bénélux, de l'Allemagne et de l'Angleterre) fut choisie pour accueillir le musée des plans-reliefs. Ainsi, le public le plus large possible pourrait en bénéficier. Le déménagement des plans commença alors que l'Hospice général qui devait les recevoir dans ses 10 000m de surfaces de planchers n'avait pas été entièrement réaménagé. Le 14 mars 1986, la ville de Lille et l'Etat signèrent une convention pour spécifier les modalités de la mise en dépôt de la collection. Pourtant, la même année, afin d'avoir un temps de réflexion, le nouveau gouvernement de Jacques CHIRAC stoppa le déménagement. Cela provoqua une très vive contestation. Un Comité de soutien à l'installation du musée des plans-reliefs à Lille vit le jour, une pétition fut signée par 200 000 personnes et 30 000 personnes se déplacèrent pour venir admirer les plans-reliefs lors de deux journées d'ouverture exceptionnelle.

Les plans-reliefs au Palais des Beaux-arts de Lille.

Le 2 octobre 1987, la maire de Lille, Pierre MAUROY et le ministre de la culture, François LEOTARD signèrent une convention fixant le dépôt de 26 plans-reliefs (19 originaux et 7 copies représentant le Nord de la France, la Belgique et les Pays-Bas) au Palais des Beaux-arts de Lille. Six plans originaux furent présentés au public le 27 janvier 1989. Ils prenaient alors place au sein de l'atrium du musée. Puisque le dépôt de Lille comportait seulement 26 pièces sur les 102 plans-reliefs, l'aménagement des 10 000m de l'Hospice général n'était plus nécessaire. L'investissement de 37 millions de francs fut alors reporté sur le Palais des Beaux-arts pour l'aménagement de la section « Musée de la frontière ». 

De nos jours, les plans-reliefs sont exposés au niveau -1 du Palais des Beaux-arts de Lille, dans un espace de 700m conçu en 1997 par les architectes IBOS et VITART.

 

MUSEE DE L'HOSPICE COMTESSE

L'hospice et la comtesse.

En 1237, Jeanne de Flandre, comtesse de Flandre et de Hainaut, décida d'établir un hôpital sur un emplacement situé au sud de sa résidence. Cet hôpital, dédié à Notre-Dame, fut édifié pour le salut de son âme et celle de son défunt mari, Ferrand de Portugal (1208-1233). Rebaptisé « Hôpital Comtesse» en signe de gratitude, l'hôpital avait vocation à accueillir les pauvres, les malades et les indigents. Il reçut également, de la part de la Comtesse, des revenus immobiliers, des terres cultivables hors de Lille, le droit de perception des impôts sur la pêche dans la Deûle et sur l'activité des moulins à vent. 

Incendies et (re)constructions.

En 1468, un incendie détruisit l'ensemble des bâtiments. Seuls quelques pans de murs furent épargnés. La salle des malades fut reconstruite vers 1468-1472. Voûtée d'un berceau lambrissé, elle laisse à voir des niches le long des murs qui placées à côte des lits des malades servaient de tables de chevet et de veilleuse. En 1649, un nouvel incendie provoqua la destruction de la chapelle qui fut reconstruite en 1651-1652 et séparée de la salle des malades par un jubé. Le bâtiment de la communauté fut construit à la fin du XVème siècle. 

En 1745, l'hôpital comportait 120 lits. Par la suite, il fut transformé en hospice en 1797, en orphelinat en 1939 et devint un musée en 1969.

Réouverture du musée municipal.

Le musée rouvrit ses portes en juillet 2006 après 9 mois de travaux de réaménagement. Ceux-ci avaient pour but de mieux faire transparaître la vocation initiale du lieu et de mettre en valeur les collections. C'est donc au sein de l'atmosphère d'une maison religieuse flamande de la fin du XVIIème siècle comportant des carreaux bleus d'inspiration de Delft dans la cuisine, du mobilier sculpté dans le réfectoire, de grandes cheminées de bois sculpté& que prennent place objets de la vie quotidienne, objets d'art sacré, peintures (dont les toiles d'Arnould de Vuez et des Watteau de Lille père et fils)&

 

MAISON-MUSEE CHARLES DE GAULLE

Charles de Gaulle vit le jour le 22 novembre 1890 dans la maison de ses grands-parents maternels située au 9 rue Princesse à Lille. Devenue musée en 1983, la maison fut classée Monument historique en 1990. 

Après un an de travaux durant lesquels plusieurs espaces muséographiques furent créés, le musée rouvrit ses portes en 2005. Au 1er étage, dans la chambre rose, sont exposés le berceau et la robe de baptême du général. Dans la chambre voisine, il est possible d'admirer la maquette reconstituant la bataille d'Austerlitz construite par le jeune Charles. Dans la cuisine du rez-de-chaussée, le dressoir et la lingerie à l'étage, des espaces d'expositions sont pourvus de bornes interactives. La fabrique du fond de la cour pavée comporte un centre de ressources historiques multimédia et un petit auditorium de cinquante places.

La Maison natale tout en restituant la vie de Charles de Gaulle offre également la possibilité d'ouvrir sur une histoire plus large, celle des XIXème et XXème siècles.

Elle fut labellisée « Maison des Illustres » en 2011. Depuis 2014, elle est gérée par le département du Nord.

 

MUSEE DES CANONNIERS

Les canonniers.

Le bataillon des canonniers sédentaires de Lille est l'unique descendant des confréries militaires et l'un des plus anciens corps d'artillerie d'Europe. La « confrérie des canonniers et culeuvrinniers » fut créée en 1483 afin de défendre la ville de Lille. Participant à tous les conflits, les canonniers reçurent armes d'honneur, citations, nouvel étendard. Jugés trop indépendants, ils furent incorporés à la garde nationale après 1792. Leur hôtel particulier fut également confisqué.

Afin de récompenser leur courage face aux bombardements autrichiens de 1792, Napoléon Bonaparte leur accorda leur indépendance en août 1803. Il leur fit également don du couvent des sœurs clarisses situé entre les rues des Canonniers et des Urbanistes (au sein duquel le musée prend place de nos jours) ainsi que de plusieurs canons d'honneur dont deux canons Gribeauval. La volonté de création d'un musée naquit dès 1848. 

Les collections du musée.

Les 3 000 objets du musée (armes, cartes anciennes, tableaux, documents&) illustrent toute l'histoire des Canonniers et leur rôle dans la défense de la cité. Les pièces majeures du musée sont les deux canons Gribeauval offerts par Napoléon qui demeurent les deux seuls canons existants au monde comportant tous leurs accessoires. 

 

MUSEE DIOCESAIN D'ART RELIGIEUX

La création du musée.

Le musée diocésain fut créé durant la Première Guerre mondiale « lorsque Mgr CHAROST à la demande de plusieurs paroisses et établissements privés, accepta d'accueillir, rue Royale des œuvres d'art qui se trouvaient en danger près de la zone d'hostilités. Après la guerre, plusieurs des propriétaires préférèrent les laisser en dépôt à l'évêché où fut ainsi constitué l'embryon du futur musée diocésain ». Le musée se situait alors au 68 rue Royale.

Un décret du cardinal LIENART daté du 3 octobre 1929 fut à l'origine de la création officielle du musée.

L'enrichissement des collections.

Par la suite, la collection fut enrichie par de nombreuses pièces de valeur par Mgr LOTTHE. La place commençant à manquer, le cardinal décida de transférer les collections dans la crypte de la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille en 1969.

Le musée diocésain et le Centre d'art sacré contemporain, deux musées bien distincts.

De nos jours, le musée diocésain qui comporte une cinquantaine d'objets classés prend place au sein de la partie ancienne de la crypte. Il n'est pas accessible au public. Cette partie de la crypte accueille également des tombeaux ; ceux de trois évêques de Lille (Mgr Hector Raphaël QUILLIET, Mgr Adrien GAND, le cardinal LIENART), ceux de Philibert VRAU et de son beau-frère, Camille FERON-VRAU, et al. ainsi qu'une boutique de l'artisanat monastique. 

La « crypte moderne », construite en 1936, qui conserve son architecture en béton brut, est quant à elle occupée par le « Centre d'art sacré contemporain ». Gilbert DELAINE (1934-2013) gravement malade, demanda à ses amis artistes de créer sur le thème de la Passion. De 1986 à 1988, il reçut des œuvres créées par Georg BASELITZ (1938-), Robert COMBAS (1957-), Ladislas KIJNO (1921-2012), Peter KLASEN (1935-), Fontana (1899-1968), Andy WARHOL (1928-1987), et al. Dans les années 1990, avec les travaux d'achèvement de la cathédrale se posait la question de l'utilisation de la crypte moderne. Mgr VILNET, alors évêque de Lille, envisagea de transformer la crypte en parking. Ladislas KIJNO, créateur de la rosace de la façade, s'opposa au projet « Monseigneur, je n'aimerais pas du tout que l'odeur de l'essence recouvre celle de l'encens ! ». Il proposa que la crypte accueille la collection DELAINE. Ayant découvert la collection, Mgr VILNET accepta. En 1996, Gilbert DELAINE fit don de sa collection (que l'on nomme « La Passion de Dunkerque ») au diocèse de Lille. Le centre, inauguré en 2003, ferma ensuite durant cinq ans pour travaux et rouvrit ses portes en 2013.

Modalités d'entrées

Type d'entrée : versement

Date d'entrée : inconnue

Présentation du contenu

Les dossiers rendent compte du fonctionnement des musées municipaux (Palais des Beaux-Arts, Musée d'Histoire naturelle et Hospice Comtesse) et de leurs collections (constitution, restauration...). 

Les dossiers des musées ayant un autre statut (Maison natale de Charles de Gaulle, Musée des canonniers, Musée diocésain) comportent uniquement des coupures de presse.

Accroissements

Cette sous-série est close; elle n'a pas vocation à s'accroître.

Conditions d'accès

Communicable (sauf documents soumis à des délais de consultations spécifiques)

Conditions d'utilisation

Les documents communicables sont librement réutilisables.

Sur le principe, la totalité des documents peuvent être réutilisés pour tout projet culturel (exposition, publication, documentaire...) à vocation commerciale ou non. Chaque projet devra néanmoins faire l'objet d'une présentation préalable au service des Archives. Dans tous les cas, il est nécessaire de vous rapprocher du président de salle de lecture ou de contacter le service avant d'entamer toute démarche.

Langue des unités documentaires

Français

Documents en relation

Concernant les bâtiments du Palais des Beaux-arts et du musée d'histoire naturelle, se référer aux 4M3 et 4M11.

« Musée Wicar : catalogue des dessins et objets d'art légués par J.B. Wicar » en BH483.

Bibliographie

Palais des Beaux-arts :

http://www.pba-lille.fr/ 

« Le Musée de Lille », Revue Art et Style numéro 42, préface par Pierre Maurois, conservateur du Palais des Beaux-arts de Lille, 1957 (2R12/14).

Marie-Louise LEBLANC, « Le musée de Lille, peintures », Collections publiques de France, Memoranda (2R12/14).

A.C, « Histoire du musée de Lille » (2R12/29).

 

Musée d'histoire naturelle :

Les lieux du savoir, Le patrimoine universitaire de la métropole lilloise, Textes de Thierry BAERT, Cécile FERU, Didier JOSEPH-FRANCOIS, Richard KLEIN, Dominique MONS, Jean-Louis PICQUE, photographies de Max LEROUGE, p52-53

http://mhn.lille.fr/cms/home/collections/histoire-musee

http://www.musenor.com/Les-Musees/Lille-Musee-d-Histoire-Naturelle

« La face cachée du muséum lillois, Réserves du musée d'histoire naturelle : des trésors enfouis », La Voix du Nord du 4 juillet 2010, 2R12/37)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_d%27histoire_naturelle_de_Lille

Article « La face cachée du muséum lillois, Réserves du musée d'histoire naturelle : des trésors enfouis », La Voix du Nord du 4 juillet 2010, (2R12/37)

 

Musée des canonniers :

Flyer du musée.

http://museedescanonniers.wix.com/lille

http://www.lilletourism.com/musee-lille/musee-des-canonniers-sedentaires-de-lille.html

 

Musée diocésain d'art religieux :

Article « Réouverture à Lille du musée diocésain », Nord Eclair du 15 octobre 1969 (en 2R12/46)

« Lille, La Treille, lumière du Nord, La grâce d'une cathédrale», sous la direction de Mgr Laurent ULRICH, La nuée bleue place des victoires, 2014.

http://www.cathedralelille.com/index.php/decouvrir/treille/108-la-crypte/35-la-crypte

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame-de-la-Treille_de_Lille#Crypte

http://www.lille.catholique.fr/centre-d-art-sacre-rubrique-27.htm

http://www.liturgiecatholique.fr/Le-Centre-d-art-sacre-contemporain.html

 

Musée des plans-reliefs.

2R12/76

 

Musée de l'Hospice Comtesse.

Lille secret et insolite, Les mystères d'une insoumise, Eric MAITROT, photographies de Sylvie CARY, collection Les beaux jours.

Guide d'architecture de la métropole lilloise, ouvrage collectif, Le Passage, Paris, 2004.

http://www.pba-lille.fr/Palais-des-Beaux-Arts-de-Lille/Musee-prive/Musee-de-l-Hospice-Comtesse

http://www.lilletourism.com/musee-lille/musee-de-l-hospice-comtesse.html

 

Maison-Musée Charles de Gaule.

Lille secret et insolite, Les mystères d'une insoumise, Eric MAITROT, photographies de Sylvie CARY, collection Les beaux jours.

https://lenord.fr/jcms/prd2_171824/la-maison-natale-charles-de-gaulle

http://www.charles-de-gaulle.org/pages/maison-natale.php

Notes

Publié sur FranceArchives.

Mots clés lieux

Mots clés matières

Exposition du Musée des Beaux-Arts de Lille au Japon : correspondance, rapports.

Cote/Cotes extrêmes

2R/12/119 (Cote)

Date

1993